Équilibre vie privée/vie professionnelle : aussi en consultance

Trouver son équilibre personnel vie privée/vie professionnelle
Le risque d'épuisement professionnel pour les consultants IT ? Oui, il existe. Pour préserver votre qualité de vie, déterminez votre propre charge horaire et mentale maximum.

Trouver le bon équilibre, c’est une valeur à laquelle nous tenons, chez Aprico. Mais aussi un exercice propre à chacun de nos consultants. Pour vous, la balance vie privée/vie professionnelle se calcule-t-elle en charge horaire, en charge mentale, en quality time avec votre famille, en activités sociales, sportives, personnelles ? Voici quelques trucs afin de placer le juste curseur pour vos besoins.

Avec le travail hybride, la question de l’équilibre vie privée/vie professionnelle se pose encore davantage. Certains prônent une séparation claire et matérielle. D’autres estiment qu’il s’agit d’une frontière impossible à dessiner, surtout parmi les consultants… Une chose est certaine : il n’y a pas de mesure universelle. Tout simplement parce que cette notion d’équilibre est propre à chacun.

Dans un autre article, nous vous avions déjà fait découvrir pourquoi la discipline appliquée en mission de consultance ou en privé permet de booster votre épanouissement personnel.

Une cause, plusieurs effets

Vous l’avez déjà remarqué : un surcroît de travail peut entraîner un regain d’énergie chez les uns et un ras-le-bol chez les autres. Parfois, ces deux extrêmes s’observent chez la même personne à des moments différents. Comment savoir où vous vous situez ? Grâce à un exercice très simple qui ne nécessite qu’un papier et un crayon : le camembert de votre vie. On essaye ?

  • Dessinez un camembert et divisez-le en autant que parts que vous identifiez de domaines de votre vie qui comptent à vos yeux. Par exemple : le travail, la famille, les amis, le couple, la santé, les loisirs…

Certains y ajoutent l’argent, la spiritualité, le sommeil ou encore la contribution au monde.

  • Sans trop réfléchir, notez ensuite quelle proportion chaque domaine représente en ce moment.
  • Faites ensuite le même dessin avec la proportion qui vous permettrait d’être en équilibre.

L’équilibre est une valeur relative

Ready ? Cet exercice n’a d’autre objectif que de mesurer ses propres marges de progression à l’instant T. De prendre conscience de ce qui fonctionne plus ou moins bien. Et de déterminer une stratégie d’évolution pour équilibrer notamment vie privée et vie pro. Sans pression. Mais avec l’aide de quelques outils que vous dévoile plus loin. L’exercice peut être répété tous les ans ou même plus souvent, avec des résultats différents. Normal : l’équilibre est une valeur relative.

Les astuces (testées et approuvées)

  • Assumer sa part de responsabilité. Certes, le contexte et la situation jouent un grand rôle dans notre surcharge. Mais notre façon d’y réagir aussi. Nous sommes responsables des limites que l’on pose (ou qu’on ne pose pas).
  • Ne pas attendre. Quand on se trouve avec trop de choses à faire en trop peu de temps, il faut réagir. Non pas en rognant sur ses heures de sommeil, mais en optimisant son temps de travail, en ajustant sa to-do list, en renégociant les délais…
  • Mettre un frein au perfectionnisme. Souvent, être efficace est préférable à être parfait. Parfois, la version « good enough » est juste ce dont on a besoin pour passer à l’étape ultérieure d’un projet. Exceller plutôt qu’être parfait, c’est possible.
  • Déléguer. Demander un coup de main à l’équipe. Chez Aprico, on est une grande famille, vous le savez. Pas seulement avec un suivi RH classique, mais avec un coaching personnel.
  • Aligner des petits objectifs. Pour faire le tour du monde, il faut parcourir 40.000 kilomètres. Mais chaque pays traversé est une avancée à ne pas négliger.
  • Prioriser. Et pas seulement sur le plan professionnel. Tout ce qui vous donne de l’énergie et vous nourrit constitue une priorité : du match de hockey du petit dernier au week-end anniversaire prévu depuis 3 mois.
  • Inscrire ses routines positives à l’agenda: le lunch avec maman, les longueurs à la piscine, le cinéma du samedi… Ils sont aussi importants que vos réunions et échéances pros.
  • Faire des pauses. Sans technologie. Au grand air. Bouger. Respirer. Se vider la tête.

Découvrez l’équilibre vie privée/pro en tant que consultant chez Aprico

  • Vous bénéficiez d’un accompagnement à votre rythme. Une équipe vous guide et vous oriente.
  • Nous assurons le paiement de vos factures et défendons vos intérêts. Toujours.
  • Vous rejoignez une grande famille qui a le sens de la collaboration.
  • Chez Aprico, tout le monde vous connaît (et vice versa).

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IT Financial Management – Gérer les budgets IT avec l’ITFM

Après deux années où la pandémie et le confinement ont contraint l’informatique à déployer, souvent dans l’urgence, le cloud et le télétravail – le tout associé évidemment à la sécurité -, il est à présent temps de reprendre une vitesse de croisière. Et de – mieux – gérer les dépenses IT dans le cadre de l’ITFM ou IT Financial Management

A présent que la crise du Covid-19 est – pratiquement – oubliée, l’informatique peut se concentrer pleinement sur la poursuite de la transformation numérique, même si le confinement en avait accéléré le déploiement. Ainsi, le cabinet de consultance Gartner prévoit pour cette année 2022 une hausse des dépenses IT mondiales de 5,1% par rapport à 2021, soit 4.500 milliards de dollars, grâce notamment à la reprise économique qui s’amorce. D’ailleurs, « 2022 is the year that the future returns to the CIO », estime John-David Lovelock, distinguished research vice president chez Gartner. « They are now in a position to move beyond the critical, short-term projects over the past two years and focus to the long term. »

Phasage

Toujours selon Gartner, l’ITFM vise à gérer le département informatique comme n’importe quelle entité d’une organisation. Les outils d’ITFM fournissent aux CIO une analyse détaillée des coûts et de la consommation IT et sont conçus pour améliorer la prise de décisions (financières) en fournissant en temps réel différents niveaux de vues sur le coût total de l’IT. Il s’agit donc d’agréger l’ensemble des postes de coûts IT, un défi d’autant plus grand que les organisations modernes combinent des activités sur-site et dans le cloud, qu’il soit privé, hybride ou public.

En pratique, un projet d’ITFM s’étale en moyenne sur trois à six mois et devrait s’effectuer en trois phases. D’abord, un état des lieux des processus de suivi budgétaire et de refacturation. Ensuite, une définition de la taxonomie cible, ce qui permet de mettre en place un standard budgétaire multidimensionnel spécialement adapté aux projets cloud et agiles, particulièrement consommateurs d’Opex (entendez les dépenses d’exploitation) à l’inverse de l’infrastructure notamment, davantage axée sur le Capex ou les dépenses d’investissement. Différentes solutions existent sur le marché, par exemple le Cigref en France ou le Council TBM 4.0 (Technology Business Management) et ont pour but d’industrialiser la consolidation et l’affectation des dépenses IT. Enfin, l’intégration de cette taxonomie avec les outils IT existants, notamment FinOps et comptables, avant le basculement par entité.

Bénéfices

Si la remarque « L’IT coûte cher » vous est familière, sans doute l’ITFM est-il la réponse. Dans une organisation en effet, il n’est pas rare que le coût réel de l’informatique soit mésestimé, d’autant plus avec l’émergence du cloud et du ‘As-a-Service’, sans parler évidemment de la ‘shadow IT’ où les utilisateurs achètent et consomment des services et ressources informatiques sans le contrôle du département IT.

En mettant en place une solution d’ITFM, l’entreprise sera en mesure de contrôler très précisément ses coûts, lui permettant de réduire ou d’éliminer les coûts jugés inutiles ou peu opportuns. Elle pourra également évaluer et prioritiser des projets et initiatives en fonction d’un rapport coûts/bénéfices rigoureux. De même, les utilisateurs finaux pourront être conscientisés au coût réel de leur demande de ressources grâce à une évaluation plus précise des investissements. De même, les coûts pourront être affectés très précisément à chaque projet et activité, d’où une plus grande transparence et une meilleure ‘accountability’ de chaque entité.

Grâce à un contrôle financier plus fin, l’entreprise pourra avoir une meilleure visibilité sur son IT hybride, associant à la fois des ressources/applications sur-site, mais aussi dans le cloud. Enfin, cette gestion financière stricte permettra de mieux planifier le budget futur, puisque ‘mesurer, c’est savoir’.

Clés du succès

Sachant que, toujours selon le consultant Gartner, la moitié des dépenses IT se feront dans le cloud d’ici 2025, la mise en place d’une stratégie d’ITFM apparaît comme indispensable. Mais elle obligera toute l’organisation à repenser ses pratiques et à impliquer l’ensemble des entités à tous les niveaux.

En effet, le succès d’une solution d’ITFM passe par une analyse approfondie de chaque coût, la consolidation des différentes données, puis leur analyse avant la prise de décisions sur la base de chiffres disponibles en temps réel.

Comme cette gestion financière se doit d’être globale, il est sans doute opportun de commencer par un modèle basique qui sera ensuite étendu à toute l’organisation. Et à chaque fois qu’un nouveau projet ou une nouvelle dépense sera envisagée, il conviendra de s’appuyer sur cette structure ITFM et de l’alimenter pour créer une boucle vertueuse. De même, un changement de culture devra être initié pour impliquer chacun. En l’occurrence, des ‘quick wins’ permettront de convaincre les différents acteurs de la pertinence d’une telle solution d’ITFM.

Le projet d’ITFM s’inscrit – évidemment – dans la cadre plus vaste de la transformation numérique. Accompagner les entreprises dans leurs projets de transformation numérique : telle est la mission d’Aprico Consultants. Un accompagnement qui se veut à la fois stratégique et technologique. Pour supporter sa stratégie, Aprico a mis au point une méthodologie de travail originale articulée selon trois axes : smart, lean and agile.

Hyperconnexion : comment rester concentré

Surconnexion, hyperconnexion : comment fixer les limites
Et si même les pros de la technologique devaient s’imposer une pause technologique ? Trucs et astuces pour rester concentré en mission (et en dehors) …

Être joignable en permanence ou revendiquer le droit à la déconnexion ? C’est le dilemme auquel nous confronte l’hyperconnexion. Elle a l’avantage de doper notre agilité, mais peut se révéler un cauchemar pour le consultant. Au programme de la solution : pause technologique, set-up intelligent des outils… Suivez- le guide.

Avoir la possibilité d’être connecté en permanence a changé notre vie dans tous ses aspects. Dans le domaine du travail, c’est cette connectivité permanente, quel que soit l’endroit (ou presque), qui a permis de switcher pour le travail à distance du jour au lendemain. Elle a permis de continuer à collaborer, de se montrer agile et productif à distance, parfois même plus que sur site. Bravo !

Êtes-vous surconnecté ou hyperconnecté ?

Mais il y a un revers à la médaille. Des répercussions sur la qualité de vie, sur le moral et la santé. On dit d’un collaborateur ou d’un consultant qu’il est en état de surconnexion lorsqu’il multiplie l’utilisation d’outils nomades et numériques et y consacre beaucoup de temps sur sa journée de travail. Notre lot quotidien. On parle d’hyperconnexion quand il n’arrive pas à décrocher du boulot et à faire la distinction entre vie privée et vie professionnelle . Vous méritez mieux, on en est convaincus.

Toute ressemblance avec une personne existante…

La bonne nouvelle, c’est que les clés de la tranquillité d’esprit, de l’implication (engagement) et de la productivité sont les mêmes en mission et à la maison. Les gestes qui vous permettront de rester concentré jusqu’à la fin de votre tâche en situation de travail sont les mêmes que celles qui vous permettront de profiter d’un moment en famille sans interruption.

Les études regorgent de chiffres pour étayer ce constat. Nous serions interrompus par des e-mails 14 fois par jour. Certains consultent leurs mails toutes les… 6 minutes ! Pire encore, un manager cumulerait 2 journées de travail à gérer ses mails et à écouter des réunions sans intérêt direct chaque semaine. Chez Aprico, nous accompagnons nos consultants  afin de rester efficace dans leurs missions.

Des pauses sans technologies

Comment rester concentré ? Plusieurs penseurs et chercheurs, qu’ils soient économistes ou psychologues, se sont penchés sur le sujet. Quelle que soit l’approche, la solution serait une question de priorisation, de limites et de pleine conscience. Par exemple, le simple fait de prendre des pauses sans technologie, comme une petite marche, manger dehors, permettrait d’augmenter notre concentration de façon notable et immédiate. Reste à ne pas profiter de sa pause au boulot pour checker ses réseaux. (au fait, votre profil LinkedIn est-il optimisé?)

Configurer et filtrer

Un autre truc efficace serait de bien configurer ses alertes et ses mails, filtrer les émetteurs ou les priorités en amont, afin de ne recevoir que les informations souhaitées sans être noyé sous les messages. Cela permet de rester disponible pour ce qui le nécessite et de choisir quel est le moment adéquat pour prendre connaissance du reste. Bon nombre de messageries le permettent. Et configurer un message de réponse automatique permet de rassurer votre interlocuteur sur le délai de réponse.

Multitasking, mais pas trop

On vante souvent le fait d’être multitâche. Pourtant, ce serait un frein à la concentration lorsque les deux tâches occupent la même fonction. Par exemple, écouter de la musique n’empêche pas de faire son jogging. Mais le fait de consulter ses mails ou ses réseaux pendant une réunion empêcherait tout focus, au point de nous empêcher de produire et de créer correctement. Le conseil ? S’occuper d’une chose à la fois, selon une liste établie et hiérarchisée, pour agir rapidement et avec efficacité.

À la recherche d’une mission en IT ?

Chez Aprico, la diversité fait partie de nos valeurs. Nous tenons compte de votre personnalité et de vos compétences. En tant que consultants IT, vous bénéficiez d’un accompagnement tout au long de votre carrière. Cerise sur les cookies ? Nous assurons le paiement rapide de vos factures et défendons vos intérêts. Toujours.

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Définir ses priorités pour vivre sereinement et exceller

Prioriser. Ne pas se laisser distraire par celles des autres. Savoir renoncer. Savoir dire non. Des skills qui s’apprennent pour ne pas subir sa vie/son travail.

On est tous ultras professionnels chez Aprico, c’est évident. Sky is the limit. Puis on se retrouve à 20h avec une ‘to do list’ impressionnante alors qu’on n’a pas arrêté une minute. Pas parce qu’on manque de compétence, de performance et d’organisation ? Non. Juste parce qu’on n’a pas (assez) priorisé. Bonne nouvelle : ça se travaille.

Que ce soit dans sa vie personnelle ou dans le cadre d’une mission, on a une tendance naturelle à se laisser embarquer par les agendas des autres, les mails reçus, les demandes plus ou moins urgentes pour des tiers. Difficile de dire non. Parce qu’on n’a pas envie de froisser. Parce que personne ne sait le faire mieux que nous. Parce que ça ne prendra qu’une minute…

Gagner du temps et de l’énergie

C’est typiquement le genre de détails qui nous amène le soir à constater qu’on n’a pas terminé les tâches qu‘on s’était fixées le matin. Alors que la journée a été bien remplie. Lorsque ce genre de schéma se répète, même si on arrive au terme de sa mission, on a perdu du temps et de l’énergie… dont on aurait bien tiré profit pour son épanouissement personnel, social ou familial.

Diriger sa trajectoire, pas la subir

Les coachs sont unanimes : accorder le même niveau d’importance à tout, c’est n’accorder d’importance à rien. Pour diriger sa trajectoire en tant que consultant IT et ne pas la subir, il faut se rendre compte qu’il va falloir renoncer à certaines choses : celles pour lesquelles on ne présente pas de talent particulier, par exemple. En butinant, on n’arrivera pas à garder le focus et à aller au bout des objectifs qu’on s’est fixés.

Des outils simples et puissants

D’accord, on n’est pas tous égaux devant la priorisation. On n’a pas tous été éduqués de la même manière. Et on ne navigue pas tous dans le même environnement. Les passionnés monomaniaques ont davantage de facilité à ne pas dévier de leur trajectoire. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des outils simples et puissants pour aider à définir ses priorités, enfiler des œillères en pleine conscience pour ne pas se laisser distraire de but ultime. S’autodiscipliner.

  • La règle des 3 objectifs. La veille au soir, déterminer parmi la liste de tâches à effectuer le lendemain les 3 objectifs que l’on veut absolument avoir atteints en fin de journée. Cela permet d’orienter le cours des événements afin d’y arriver. Cela permet de prendre le contrôle et de ne pas subir son contexte. Ça s’applique à la vie personnelle comme à la vie professionnelle. À répéter chaque jour jusqu’à ce que cela devienne une hygiène de vie, comme se brosser les dents.
  • La matrice d’Eisenhower. Les moteurs de recherche proposent des tas de modèles de cette matrice en 4 cases et deux axes : urgent/pas urgent, important/pas important. On l’imprime et on la place physiquement sur son poste de travail, afin de l’avoir sous les yeux lors de chaque coup de fil. Le mode d’emploi est simplissime et s’applique à chaque sollicitation extérieure. Urgent et important : c’est une priorité à faire soi-même. Urgent et pas important : on met en attente et on délègue. Pas urgent et pas important: on ne l’accepte pas et on ne le fait pas. Pas urgent et important : à traiter rapidement et à faire soi-même, sinon ça encombre.
  • Accepter d’être clivant. Répondre à tous ses mails pour la fin de la journée, c’est impossible à moins de vouloir y laisser sa santé mentale. Dire oui à tout le monde, c’est se perdre à terme. Donc on se déprogramme à dire « je m’en occupe ». On garde son temps pour les priorités qu’on s’est fixées et on se concentre sur les aspects qu’on a envie de maîtriser. Certes, on va plaire à moins de monde. C’est le cas de tous ceux qui ont des convictions, sont passionnés, excellent dans un domaine : soit ils fascinent, soit ils énervent.

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Network-as-a-Service – Pour un réseau sécurisé, agile et flexible

Avec le confinement et le télétravail, les réseaux d’entreprise ont été mis sous forte pression. Pour garantir une disponibilité et une flexibilité optimales, l’architecture du réseau se doit d’être simplifiée. Et comme tout est désormais ‘as-a-Service’, pourquoi ne pas opter pour le Network-as-a-Service…

Clairement, les technologies ‘as-a-Service’ ont le vent en poupe, comme le montre le succès des stratégies IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) ou encore SaaS (Software-as-a-Service). Au point d’ailleurs que les observateurs parlent de ‘X-as-a-Service’, entendez que le service devient la forme ultime du produit (voir un blog précédent).

Marché

Selon une toute récente étude d’Aruba, spécialisée en solutions de sécurité et de réseau d’entreprise, 86% des entreprises de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) envisageraient, à des degrés divers, d’adopter une stratégie NaaS. Et par NaaS ou Network-as-a-Service, Aruba entend « un modèle où plus de la moitié du déploiement et de son exploitation est confié à un tiers sous la forme d’un abonnement. »

De son côté, le cabinet Gartner décrit le NaaS comme un modèle de fourniture de produits réseaux sous la forme d’un service qui a les caractéristiques suivantes : fonction de self-service, usage à la demande, possibilité d’évolution à la hausse et à la baisse, facturation selon un modèle Opex et consommation à la demande via des métriques quantifiables. A titre d’exemple, Gartner évoque les commutateurs, routeurs, passerelles et pare-feux.

S’il faut en croire une étude récente du consultant ResearchAndMarkets, le marché mondial du NaaS était estimé à 11,4 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 118,7 milliards de dollars en 2027, soit une croissance annuelle cumulée de 41% sur la période concernée. Il faut dire que beaucoup d’organisations exploitent des infrastructures réseaux vieillissantes et que le NaaS peut devenir un moteur important de cette modernisation et de la numérisation, surtout avec l’émergence du cloud.

Avantages

Toujours selon l’étude d’Aruba, l’efficacité financière (entendez la réduction des coûts opérationnels) serait la motivation première du déploiement d’un NaaS par les entreprises belges (80%), devant la possibilité de convertir des dépenses d’investissement (Capex) en charges d’exploitation (Opex) pour 66% des répondants belges.

Par ailleurs, la flexibilité est citée par 66% des entreprises, essentiellement pour adapter le réseau à l’évolution des besoins commerciaux ainsi que pour modifier la gestion commerciale. Enfin, la moitié des entreprises belges voient dans le NaaS un moyen soit de réduire les effectifs informatiques, soit de réorienter les équipes IT existantes vers l’innovation et les initiatives stratégiques, et éviter qu’elles ne doivent surveiller le réseau pour faire tourner l’organisation.

De même, le NaaS peut apporter une réponse à la problématique du télétravail liée au confinement dans la mesure où il permet de connecter plus facilement les utilisateurs aux ressources et applications de leur entreprise, quel que soit leur mode de connexion. En outre, la gestion réseau devient moins complexe grâce à des outils plus conviviaux et une administration centralisée.

Enfin, le NaaS est perçu comme un accélérateur de la transformation numérique engagée par les entreprises, notamment grâce à la virtualisation des fonctions du réseau et l’approche logicielle de la gestion du réseau.

Obstacles

Comme on le voit, le NaaS présente des avantages évidents. Pourtant, cette technologie ne devrait pas révolutionner le marché d’un coup de baguette magique. C’est ainsi qu’il ne faudrait pas confondre NaaS et SD-Wan qui porte sur la virtualisation du réseau, et permet donc une gestion centralisée, mais qui n’implique nullement une consommation à l’usage et ne se présente pas comme un service.

Autre obstacle potentiel, les processus financiers internes aux organisations dont les règles budgétaires et les cycles d’investissement peuvent constituer un frein à l’adoption du NaaS. C’est d’ailleurs une raison invoquée par la moitié environ des entreprises belges qui ont participé à l’enquête d’Aruba évoquée plus haut.

Cela étant, la raison principale de la lenteur d’adoption du NaaS serait une méconnaissance de la technologie. Pour preuve, seul un responsable informatique belge sur quatre a déclaré comprendre pleinement la signification du concept NaaS (alors que 100% affirment connaître l’acronyme). Du coup, rares sont les CIO à percevoir le NaaS comme une solution établie et pérenne – 13% seulement dans notre pays -, alors que 49% y voient un concept à la recherche d’un marché et 38% que la technologie en est encore à ses balbutiements.

Partenaire

Clairement donc, le NaaS fait dépendre l’organisation d’un fournisseur externe. D’où l’importance d’une relation de confiance avec ce prestataire. Aprico Consultants est une société de consultance de premier plan qui guide la stratégie et la transformation dans le but de stimuler la performance, la productivité et la compétitivité de votre organisation. Nous combinons une expertise pointue à une parfaite compréhension du contexte et de l’expérience du client ainsi qu’une approche de bout en bout dans tous les secteurs, depuis la consultance jusqu’au déploiement de solutions.

Documenter ses projets : un levier de réussite

Documenter ses projets : 7 étapes clés
Prendre le temps de documenter ses missions grâce à des outils de gestion de projets, cela permet de gagner en efficacité, en temps, en sérénité et en énergie

Documenter ses projets. Une première étape déterminante pour toute mission, selon ceux qui y ont goûté. Inutile lorsqu’on travaille seul en consultance, estiment d’autres. Chez Aprico Consult, on pense qu’il s’agit d’un véritable levier de réussite. Voici pourquoi.

Lorsqu’on est performant, on est parfois convaincu que la recherche d’informations assimilées mentalement suffit pour mener à bien sa mission. Ce n’est pas faux. Vous avez sans doute fait le job et assuré à maintes reprises sans passer par un processus de documentation. Mais ceux qui l’ont tenté ne le regrettent pas. Même si c’est contre-intuitif, cela permet un gain de temps, de sérénité et d’énergie.

Un investissement qui rapporte

Que vous jongliez avec les clients ou que vous soyez dans une mission à long terme, le temps passé à cette tâche se révèle un investissement largement capitalisé à terme. Plus on le pratique, plus le processus s’opère vite, d’autant que les tâches sont récurrentes. Bonne nouvelle : vous n’êtes pas seul dans le processus et une multitude d’outils existent pour vous faciliter la vie.

Le professionnalisme ultime

Documenter ses projets présente de nombreux avantages. Un : ne pas négliger les détails, de façon à mieux gérer son temps et ses échéances. Deux : en rédigeant, le consultant voit plus aisément les points à améliorer et les sources d’erreur. Trois : grâce à ce process, la mission interrompue, pour quelque raison que ce soit, peut-être reprise en main instantanément. Même des mois plus tard, même si un autre client est passé par là. Quatre : faciliter la passation lorsque la mission est terminée, ce qui constitue la preuve de professionnalisme ultime. Tout le monde y gagnera.

Un outil de communication redoutable

La documentation se révèle en outre un outil de communication ultra efficace. En cas de doute ou de question sur l’avancée du travail, plus fréquent depuis le travail à distance, cette étape préalable permet de rassurer le client en un clin d’œil. Il suffit de lui montrer sur ce document existant où l’on se trouve dans la trajectoire définie et le tour est joué. Le temps ainsi gagné permet de mieux s’épanouir dans ses activités personnelles, sociales et familiales. Ce à quoi on est très attentif, chez Aprico.

La clarté prime sur le style

Le tout, c’est de trouver la bonne méthode, grâce à un outil que vous aurez choisi pour son ergonomie. Il existe pléthore de solutions pour organiser vos notes en créant des templates personnalisés, qui facilitent le classement, permettent des listes, des schémas, des liens. Une fois que vous aurez trouvé votre outil, un conseil prévaut : la clarté prime sur le style. Un dernier mot avant de se lancer ? C’est comme à la piscine : c’est entrer dans l’eau qui demande le plus gros effort. Ensuite, il suffit de nager dans les couloirs que vous aurez vous-même choisis.

7 étapes clés selon Aprico

1. Expliquez le projet (quoi et pourquoi). Même si c’est juste pour votre usage, rédigez-le comme si le lecteur n’y connaissait rien ou presque.

2. Décrivez les objectifs, les ressources, les résultats à atteindre. Même si ça vous semble tellement évident sur le moment.

3. Planifiez le projet en listant absolument toutes les tâches à réaliser. De façon claire, en estimant le temps nécessaire et les personnes concernées.

4. Documentez tout : ce que vous avez choisi de faire, mais aussi ce que vous avez écarté et pourquoi.

5. Identifiez les freins potentiels. Les imprévus et problèmes qui pourraient survenir ainsi que les points d’attention du projet/de la mission.

6. Rassemblez une liste de contacts clés. Indiquez les rôles des intervenants et leur contact par mail et par téléphone. Y compris vous.

7. Enregistrez le plan afin de le reproduire sur une prochaine mission. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

Découvrez encore plus d’astuces pour optimiser votre temps.

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Expérience collaborateur. Un outil pour attirer/fidéliser les talents

Avec le confinement lié à la pandémie et compte tenu de la guerre des talents toujours plus exacerbée, l’entreprise se doit de mettre en place une stratégie pour attirer de nouveaux collaborateurs et retenir les collaborateurs en place. Dans ce contexte, l’expérience collaborateur (EX ou employee experience) apparaît comme un outil idéal.

Si le client est évidemment roi dans l’entreprise, les collaborateurs représentent la force motrice de toute organisation. Or la crise du Covid-19 a mis en lumière la nécessité – voire l’obligation – pour l’entreprise de réinventer le monde du travail, avec notamment des outils de communication/collaboration et d’accès à distance. Ce new way of working (NWoW) a également mis à mal les rapports traditionnels entre employeur et employé, obligeant les organisations à revoir leurs structures de décision et d’exécution. Enfin, les jeunes employés sont toujours plus sensibles aux notions de bien-être au travail et d’équilibre entre vies personnelle et professionnelle, ce qui contraint les employeurs à réinventer les interactions avec leurs collaborateurs.

La technologie comme pilier

Il est évident qu’une stratégie d’expérience collaborateur ne repose pas uniquement sur des outils informatiques susceptibles de permettre à l’employé d’être (plus) productif et performant au travail. En effet, une politique adaptée de gestion des ressources humaines favorisera tant l’intégration de nouveaux collaborateurs que la rétention des employés en place. Ainsi, une attractivité et une visibilité de l’entreprise seront des atouts importants, sans oublier les valeurs que véhiculent l’organisation (notamment de durabilité) ainsi que la culture d’entreprise. De même, l’épanouissement au travail et le sens du travail sont, surtout pour les jeunes générations, autant de valeurs mobilisatrices.

D’ailleurs, une étude d’IBM Smarter Workforce Institute indique que les entreprises qui mettent en place une politique d’expérience collaborateur ont un retour sur ventes deux fois plus élevé et un retour sur actifs trois fois plus élevé que leurs concurrents. De même, le MIT (Massachussetts Institute of Technology) estime que les leaders en EX voient leurs profits augmenter de 25% par rapport à la concurrence, tandis que le consultant Accenture considère que les leaders en EX dépassent de 122% la moyenne de l’indice boursier S&P.

L’IT comme levier

Mais la technologie informatique représente incontestablement un pilier majeur de l’expérience collaborateur, tant au niveau de la qualité des données traitées que de l’automatisation de différents processus administratifs. De même, l’IT peut être utilisée pour mesurer l’efficacité de la stratégie EX, et donc contribuer à l’activité en général.

En effet, les RH doivent pouvoir s’appuyer sur des données fiables et cohérentes de chaque collaborateur. En mettant à la disposition des employés différents outils de gestion des ressources humaines, le département RH peut s’assurer de collecter et de traiter des données personnelles à jour, et donc de gérer les dossiers de manière proactive et fiable. Car dès l’engagement d’un nouveau collaborateur, plusieurs outils informatiques seront mis en œuvre pour assurer le screening du dossier, le processus de recrutement, puis le dossier d’engagement.

Par la suite, l’employé se verra proposer des services sur-mesure et actualisés à sa situation personnelle. De même, le cycle de vie de l’employé sera pris en compte de manière globale, que ce soit au niveau de sa carrière, mais aussi de sa formation, de ses certifications, de son évolution de carrière, etc. Avec évidemment une mise à jour en continu en fonction de l’évolution de chaque collaborateur grâce à un système de feedback et de suivi.

De même, les solutions d’optimisation de la rémunération de chaque collaborateur devront être prévues pour s’assurer que chacun se voit présenter le package salarial le mieux adapté à sa situation et le plus évolutif en fonction de la carrière.

Dans le même temps, l’employé se verra proposer des outils informatiques adaptés à son environnement de travail et cohérents par rapport à sa situation. Le bring our own device pourra être une solution, à condition que la sécurité nécessaire soit prévue et que l’employé sera encadré, tant au niveau organisationnel (hiérarchique) que technologique. Il est évident par ailleurs que le support IT à distance et les outils collaboratifs deviendront indispensables dans le contexte du NWoW, de même que la mise à disposition des employés d’un catalogue d’applications disponibles à la demande et de manière sécurisée (avec de préférence une authentification unique pour l’ensemble des solutions).

Avantages

Une stratégie d’EX présentera de nombreux avantages. Ainsi, les nouveaux collaborateurs seront plus rapidement et mieux intégrés à l’organisation, ce qui augmentera leurs performances et leur rendement. De même, la productivité et la satisfaction au travail des employés seront meilleures, tandis que la satisfaction des clients s’en trouvera améliorée, les collaborateurs devenant le meilleur ambassadeur de leur organisation. L’innovation pourra également être stimulée puisque les employés travailleront dans un environnement plus stimulant et adapté. Et en interne, le département RH verra sa tâche facilitée puisqu’il disposera d’informations complètes et actuelles sur chaque collaborateur. Quant à la direction générale, elle ne pourra que se féliciter de compter sur des équipes performantes, responsabilisées et motivées. (4)

En combinant une expertise pointue et une maîtrise parfaite tant des aspects technologiques que du métier de notre client, quel que soit son secteur d’activité, Aprico peut développer et implémenter des offres ICT innovantes, susceptibles d’améliorer la productivité, l’efficience et la profitabilité de nos clients en vue de leur permettre d’être plus performants et de faire face aux défis technologiques actuels. Grâce à une interaction continue avec le client, nos services de bout en bout couvrent l’ensemble du cycle de vie de votre projet, depuis la consultance et le conseil stratégique jusqu’à l’implémentation en passant par l’analyse, le développement, l’implémentation et la transformation, tant au niveau des processus que des plateformes technologiques.

En devenant consultant chez Aprico, vous ne serez jamais seul

Proche de nos consultants : plus qu’une promesse
L’équipe d’Aprico sera toujours à vos côtés. Pas seulement avec un suivi RH classique, mais avec un coaching personnel. Rencontre avec Geoffroy Simon.

« L’équipe d’Aprico sera toujours à vos côtés », c’est notre promesse. Pendant toute votre vie chez nous, vous pourrez compter sur un accompagnement par l’équipe. Ce sont plus que des mots. Le parfait exemple avec Geoffroy Simon qui a développé une relation de proximité avec la quarantaine de consultants qu’il supervise.

Outre son titre de directeur service public, Geoffroy Simon décrit son rôle comme celui d’un facilitateur pour les consultants placés sous son aile. « Il peut s’agir d’une guidance technique, mais pas seulement. Il s’agit davantage d’huiler les rouages, d’être le filet qui permet de ne pas décrocher si une difficulté se profile », dit-il.

Que se passe-t-il lorsque vous devenez consultant chez Aprico ?

Commençons par le début. Que vous ayez été démarché par la société ou que vous vous soyez manifesté de votre initiative, la première étape consiste en un entretien téléphonique classique avec un référent au service RH. On discute avec la personne de ses compétences, de son expérience et de ses valeurs. Si l’interview se passe bien et qu’il y a une mission derrière, on passe à une interview physique, sauf restrictions sanitaires, avec un volet technique.

On prend le temps de vous découvrir

« Au-delà de savoir si tel candidat correspond à telle mission, on essaie surtout, pour ce second entretien, de comprendre notre futur collaborateur : ses réussites, ses échecs, sa personnalité, son approche globale, ses attentes. Outre les compétences techniques, il est capital pour nous de nous pencher sur les compétences humaines de nos futurs collègues, de savoir qui ils sont », décrit Geoffroy Simon.

Le perfect match entre le client et le consultant, c’est notre objectif permanent. Parce que l’humain est placé au centre chez Aprico, parce qu’on ne vous considère pas comme des pions, on essaie d’identifier au mieux vos forces afin de trouver la bonne mission pour chaque consultant. C’est pourquoi nous prenons le temps d’une interview plus approfondie.

Ne pas vous materner, mais vous aiguiller

Ensuite, il est hors de question de vous lâcher dans la nature. Aprico est là en cas de besoin. Pas pour vous materner, mais pour vous écouter en cas de demande. « Je peux souvent aider pour toute une série de questions, mais je sais aussi vers qui aiguiller si cela sort du champ de mes compétences », indique Geoffroy Simon qui a d’ailleurs prévu deux petits modules de formation sur les spécificités du secteur public dont il s’occupe, pour tout nouvel arrivant dans son équipe.

Les collègues ne sont jamais loin

Même s’il arrive de se retrouver seul sur une mission ou chez un client, Aprico n’est jamais loin. « Pour mes consultants, j’ai mis en œuvre ce qui me semblait indispensable lorsque j’étais moi-même consultant: un contact régulier. Il peut durer à peine deux minutes si tout va bien. Mais on peut aussi aller manger un bout ensemble s’il faut discuter plus longuement. Cela donne la possibilité au consultant de s’exprimer. Cela demande du temps, et on n’en fait sans doute jamais assez, mais c’est pour moi indispensable. », poursuit celui qui estime qu’une petite attention peut avoir de grands effets.

Tenir compte de nos collègues

Chez Aprico, on grandit. Mais on veille à conserver la proximité qui nous caractérise. « Nous gardons l’esprit start up. Nous restons relativement souples sur les plans de formation ou d’évolution. Chacun grandit à son rythme, en fonction de ses envies et de sa situation. » Il en va de même pour les missions : « Si un de nos consultants habite au fin fond de la province de Namur, on ne va pas lui imposer d’aller tous les jours à Bruxelles, ou alors de manière très temporaire. On essaie au maximum de tenir compte de ce type de contingences. »

« Je donne les clés, je décode la situation »

Une question ponctuelle, un mini brainstorming, un simple bonjour… Geoffroy Simon assure tout cela sans être envahissant. « J’essaie de donner des clés à mes consultants. Au besoin, je décode la situation avec un regard externe. Le fait de pouvoir prendre du recul, de donner un autre éclairage avant qu’un véritable problème se pose permet selon moi d’améliorer leur bien-être au travail. L’intention est de placer la mission sous les meilleurs augures. C’est notre culture. »

Des commerciaux qui ont été dans vos chaussures

La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas limité à une personne. « Du côté commercial, on a de plus en plus de profils techniques, d’anciens consultants, qui peuvent apporter ce genre de soutien. On a été dans leurs chaussures et on est en relation avec le client donc on est bien placés. » Et de l’autre côté, comment cela est-il perçu ? « Les derniers collègues qui nous ont quittés, pour des opportunités professionnelles irrésistibles, gardent le souvenir de cette ambiance presque familiale. Tout ce travail a donc un effet pour nos consultants, ils ressentent cette proximité », conclut-il avec le sourire.

Pourquoi Aprico ?

Vous intégrez une dynamique collaborative plutôt qu’une agence de détachement. Tout le monde vous connaît, et vous connaissez tout le monde.

Vous bénéficiez de notre accompagnement durant vos missions. Une équipe vous guide et vous oriente. À votre rythme.

Envie de rejoindre Aprico pour déployer vos compétences en stratégie et transformation ICT ? Laissez-nous devenir votre partenaire de carrière.

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DataOps – Optimiser la gestion des projets de données

La donnée est clairement le nouvel or noir des organisations. Encore faut-il collecter, traiter et analyser la donnée pour la transformer en une information pertinente pour le métier. Tel est le défi de la DataOps, une nouvelle approche de la gestion de projets data.

Selon la définition du cabinet Gartner, le DataOps est « une pratique de gestion collaborative des données destinée à améliorer la communication, l’intégration et l’automatisation des flux de données entre les gestionnaires de données et les utilisateurs métier dans l’organisation. » L’objectif du DataOps consiste à délivrer plus rapidement de la valeur et à mieux prévoir la fourniture et la gestion des données, des modèles de données et des traitements de données. « Le DataOps fait appel à des technologies pour automatiser la conception, le déploiement et l’exploitation des fournitures de données avec les niveaux de gouvernance appropriés, et s’appuie sur des métadonnées pour améliorer l’exploitabilité et la valeur des données dans un environnement dynamique.

Défis

A l’heure où la transformation numérique doit permettre aux entreprises de gagner en efficacité, tant opérationnelle que financière, et en compétitivité, il est indispensable de mettre la donnée au centre de tous les processus. Or les structures des entreprises sont encore trop souvent en silos, tandis que l’alignement entre le métier et les équipes informatiques n’est pas toujours idéal. De même, les projets de données restent guidés par une démarche artisanale et ne sont dès lors source de gaspillage tant en énergie qu’en budget. Enfin, les technologies mises en œuvre dans de tels projets data sont encore trop fragmentées et peu matures, ce qui implique une prise de risque importante pour l’organisation.

Pour encadrer de tels projets, deux méthodologies désormais assez bien connues doivent être mises en place. D’abord, le DevOps qui implique un alignement étroit entre équipes de développement et d’exploitation IT. L’accent est mis sur la collaboration et la communication en automatisant le processus de livraison de logiciels et de changements d’infrastructure, et favorise donc une meilleure communication entre les équipes. L’autre axe est la méthodologie agile. En fait, le, le déploiement agile vous permet au fil des itérations du projet de gérer les changements de priorités et la validation tout au long du projet de développement, ce qui vous en assure la propriété et le contrôle.

En pratique

Pour assurer la réussite d’un tel projet, plusieurs éléments doivent être pris en compte. La gouvernance des données ainsi que la sécurité des données et des opérations sont deux aspects à mettre en avant, de même qu’une intégration et un traitement fluides des données. En outre, la visibilité des données devra être garantie et des fonctions de self-service devront être disponibles pour les utilisateurs finaux.

Le DataOps présente de nombreux avantages. Ainsi, il améliore la productivité et accélère la mise en production de projets de données. La collaboration s’en trouve améliorée et le besoin de compétences techniques ultrapointues s’en trouve réduit. Le taux de réussite d’un tel projet augmente, de même que la satisfaction globale tant des équipes que des décideurs.

Cela étant, et comme beaucoup de technologies innovantes, le DataOps se heurte à certaines réalités. Ainsi, la valeur d’un tel projet reste difficile à démontrer. De même, les délais d’implémentation sont longs. Du coup, rares sont les projets qui sont réellement déployés en production.

Par étapes

Pour être une réussite, un projet DataOps doit se faire par étapes pour automatiser la conception, le déploiement et la gestion des flux de données, le tout dans le respect de la gouvernance et des métadonnées. Un pipeline de données devra donc être mis en place depuis l’extraction jusqu’à la visualisation par le métier.

Le rôle du DataOps sera précisément d’orchestrer et d’automatiser ce pipeline selon un principe de boucles : un sandbox avec les données brutes pour une analyse sommaire des données ; un staging qui affinera l’analyse après nettoyage et documentation pour obtenir les premiers modèles ; et la mise en production des modèles pour leur exploitation par les utilisateurs.

Aprico Consultants est une société de conseil spécialisée dans l’architecture et la transformation des systèmes d’information. En accélérant résolument les processus de transformation numérique, la société fournit à ses clients la flexibilité, la performance et la compétitivité nécessaires pour leur permettre de renforcer leur position sur le marché. Aprico Consultants collabore avec ses clients pour traduire la stratégie de l’entreprise, ses objectifs et ses contraintes en programmes de transformation pragmatiques qui délivrent une véritable valeur ajoutée et un retour sur investissement avéré.

L’autodiscipline, la clé pour vos projets (même personnels)

L’autodiscipline pour atteindre ses objectifs.
Découvrez pourquoi la discipline appliquée en mission de consultance ou en privé permet de booster votre épanouissement personnel.

Chez Aprico, on met tout en œuvre pour que nos consultants s’épanouissent dans leurs missions. Mais on n’oublie certainement pas que l’équilibre tient aussi à une vie personnelle et sociale de qualité. Voici quelques conseils afin d’atteindre vos objectifs, qu’ils soient privés ou professionnels.

Formuler des ambitions

Dans votre travail, vous êtes focus sur les objectifs fixés dans le cadre de votre mission. Cette même discipline appliquée aux autres aspects de votre vie permettra de progresser dans votre épanouissement personnel, vous l’aurez peut-être remarqué.

Pas besoin d’être sportif de haut niveau pour formuler des ambitions et mettre en œuvre les changements nécessaires pour y arriver. Et ce, que votre but soit d’être en forme pour votre trek en Afrique, de booster votre branding personnel ou d’exceller dans la cuisine gastronomique.

Implication et discipline

Quel que soit le projet qui vous tient à cœur, le but à atteindre nécessite des changements au quotidien. Démarrer avec l’espoir qu’on va y arriver par chance, par hasard ou en s’y mettant en dernière minute c’est l’assurance de ne pas y arriver. Exactement comme dans la sphère professionnelle.

Dès que l’on formule une ambition, un niveau d’implication et de discipline y sont associés. Il suffit de lire les biographies d’Elon Musk ou d’autres entrepreneurs à succès pour s’en rendre compte. Derrière le résultat se cachent souvent une volonté d’acier et énormément de travail avant d’arriver à la maîtrise d’un savoir-faire. Pas besoin de se mettre en tête de concurrencer Tesla ou SpaceX, la même méthodologie s’applique à la préparation des 20km de Bruxelles ou à impressionner sur le green.

Votre volonté

Votre petite voix sait ce qu’elle doit mettre en mouvement pour réaliser plus de performance. Deux attitudes possibles. Soit on s’y met, à un rythme soutenu, pendant le temps nécessaire à atteindre son objectif. Soit on sait qu’on a besoin d’être stimulé. Aucun problème à cela : c’est pour cette raison que le coaching et le mentoring existent. Ce qui ne marchera pas, c’est de se convaincre qu’on peut le faire à sa façon.

Donc vous avez la volonté de vous y astreindre seul de manière assidue ou vous mettez en place l’accompagnement nécessaire pour y arriver. Vous pratiquez, corrigez le geste jusqu’à le maîtriser, seul ou accompagné. Mais vous ne laissez pas les choses dans les mains du hasard ou à la demi-mesure. En tous cas si vous voulez réaliser l’ambition que vous vous êtes fixée.

Votre lucidité

Analyser son environnement, faire un diagnostic de ses projets en fonction de son contexte, c’est aussi une étape incontournable. Identifier les tentations qui peuvent faire dévisser et les éluder pour éviter de mettre sa volonté à l’épreuve. C’est la lucidité nécessaire au succès.

Pour progresser au ski (et se discipliner plus rapidement) le plus efficace sera de suivre une team qui pratique mieux que soi et non de plafonner au sein d’un groupe du même niveau, voire inférieur. Sans excès. Le but n’est pas de négliger tous les pans de sa vie pour atteindre son objectif. Mais de se créer des routines réalistes, adaptées, et de s’y tenir.

La lucidité, c’est identifier les moments où l’on a plus d’interactions avec les autres et s’aligner avec sa famille, ses amis… Transformer ses attitudes en réel levier professionnel et décider quels sont les meilleurs moments pour être entièrement focus sur ses objectifs, se fixer des deadlines et les respecter. Comme dans le cadre d’une mission, en fait.

Votre motivation

Quelle différence entre la volonté et la motivation ? La volonté, c’est se dire « j’ai véritablement envie d’arriver à ça ». La motivation, c’est décider « tous les jours, je vais faire ceci pour y arriver » et obtenir ainsi sa dose de satisfaction quotidienne.

La séquence d’événements est importante. La motivation ne doit pas forcément précéder l’action. L’action sera souvent à la source de la motivation, par le résultat qu’elle génère. Je n’ai pas envie de répéter le même service sur un court de tennis sans arrêt. Mais j’apprécie le degré de précision obtenu dont je suis motivé à continuer l’entraînement.

Il est capital de mettre en phase le niveau d’ambition et le niveau d’effort que vous êtes prêts à fournir. Et surtout, de prendre plaisir sur le chemin. Le résultat n’est pas le seul goal, la route sera aussi importante dans votre épanouissement. Créer de la valeur. Finalement, c’est ça qui compte.

Envie de missions IT épanouissantes ? Aprico Consultants prend soin de votre carrière.

Travailler pour Aprico Consultants, c’est…

  • L’ambition
  • La passion
  • L’excellence
  • L’évolution
  • L’épanouissement

Chez Aprico, vous bénéficiez d’un accompagnement tout au long de votre carrière. Cerise sur les cookies ? Nous assurons le paiement de vos factures dans les temps et défendons vos intérêts. Toujours.

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